Mot de l'éditeur
SANG D'IRAH et LA CHRONIQUE INSULAIRE : PITCH ET INFOS
Publiée entre 2001 et 2005 par les éditions Nestiveqnen, puis reprise en 2009 par le Pré aux Clercs, la Chronique Insulaire a offert aux amateurs de Fantasy la plume et l’imagination d’une romancière passionnée par l’inconscient collectif, les mythes fondateurs et la mouvance tolkienienne. Historienne médiéviste, Claire PANIER-ALIX offre ici la réédition complète de sa saga, revue en partie, grâce au réseau Bookelis et Hachette Livres. Tous sont également disponibles en numérique sur Amazon et Fnac.
SANG D’IRAH : LES ORIGINES
Un roman de fantasy épique né du succès d’une trilogie de dark fantasy, la Chronique Insulaire, dont il est la préquelle. Le premier tome publié, L’Echiquier d’Einär (nouveau titre : « Les Grands Ailés ») ainsi que ses deux suites, La Clef des Mondes et Le Roi Repenti, étaient hantés par un roi-spectre, Duncan d’Irah, et par son descendant, le prince déchu Akhéris. Leurs aventures au pays des mages, des dragons, des faunes, des dieux et du peuple elfique, ont passionné les lecteurs qui réclamèrent en 2004 une préquelle. Leurs voeux furent exaucés par la sortie de Sang d’Irah en 2005 (réédité en 2009 par le Pré aux Clercs sous la direction d’Edouard Brasey): la saga très arthurienne du roi Duncan d’Irah avant sa mort et son arrivée sur l’échiquier des dieux. Un roman où s’entremêlent l’occident médiéval, le mysticisme moyen-oriental, et un vent de piraterie sur fond de trahisons politiques, de guerres, d’amours et de coups de sang.
PITCH :
SANG D’IRAH (les origines)
Quatre peuples se partagent l’Ile-Continent Nopalep. Les terres les plus fertiles sont jalousement gardées par la reine de Nicée, Maryanor, et ses prêtres. Elle est soutenue par son principal vassal, Duncan, roichevalier d’Irah, auquel elle est promise depuis l’enfance. Au sud s’étend le désert sacré d’Orkaz, une terre aride et mystique que son maître, l’Homme-Dieu Sail, espère sauver de la misère en s’alliant avec les Trolls lycanthropes de l’empire de Kurstanie, le grand nord. Ensemble, ils ont décidé de mettre fin à l’oppression nicéenne en prenant Nicée en tenaille. Cette guerre prend un tournant incertain lorsque les pratiques nécromanes de Maryanor renversent les alliances, brisent les serments et mettent à mal le sens de l’honneur cher à la chevalerie d’Irah. Entre ses amours et son amitié pour Sail, ses devoirs envers le peuple et le sang qui coule dans ses veines, Duncan va devoir choisir.
LA CHRONIQUE INSULAIRE PROPREMENT
DITE : tomes 2, 3, 4
Einär, ledieu-rêveur, place ses pions sur l’échiquier. La partie d’échecs qu’il met en scène l’opposera à son ancienne compagne, la déesse chtonienne Belthem. Ses pions ?Le spectre du roi d’Irah, Duncan; les seigneurs de Bramagor, Razavel et Tzvetan; les Elfes d’Hyriance, le faune Modar et les Nains de Brak’tipo. Ses plans risquent toutefois d’être troublés par le frémissement de l’axe du monde, l’arbre sacré Péridixion, annonçant le retour des dragons sur lesquels aucun dieu n’a de pouvoir… Cette saga est une fresque complexe et crépusculaire où les destins sont contrariés, et la Mémoire, une réalité tangible, un lieu véritable abrité par la conscience des dragons. Un monde dans lequel la mort n’est plus qu’une vue de l’esprit, et la vie, une succession d’épreuves conditionnée par les caprices de dieux décadents.